Friday, June 29, 2007
Thursday, June 28, 2007
salut
ce salut vient de la part des gens dans la rue,d'une manière spontanée;ils ont salué le soldat qui devient la fièrté de chaque maison,de chaque libanais.
il le mérite.il est le symbole qu'on respecte et qu'on estime.
voilà le liban
il le mérite.il est le symbole qu'on respecte et qu'on estime.
voilà le liban
Tuesday, June 26, 2007
Monday, June 25, 2007
Saturday, June 23, 2007
Thursday, June 21, 2007
Tuesday, June 19, 2007
Sunday, June 17, 2007
les menaces
les menaces maquillées ou carrément déclarées nous promettent toute sorte de bouleversements dont le moindre est terrifiant. personne n'a l'air de paniquer comme si nous étions habitués à ce que la mort habite parmi nous et mange dans notre assiette.
laure ghorayeb
17juin2007
laure ghorayeb
17juin2007
Saturday, June 16, 2007
Thursday, June 14, 2007
peur
ce soir,en rentrant du journal,à21heures,il n'y avait personne dans la rue.j'ai quitté annahar au centre ville et je suis rentrée chez moi à achrafieh sans rencontrer qui que ce soit.depuis quelques temps on s'arrêtait devant un barrage de l'armée.un soldat me faisait signe d'avancer.je me sentais sécurisée.cette nuit :le barrage n'étauit pas là,seule la peur s'est installée dans les entrailles.
rien ne réussit à me décrisper.j'ai encore l'impression que quelque chose m'attend malgré que les murs connaissent comment me dérider.cette peur est pire que les explosions.
l'explosion,quand on l'entend,elle est déjà arrivée,mais là,s'attendre à une fatalité qui vous coince sans que vous puissiez vous soustraire à sa persistance,ça doit tenir de la ténacité.
jue ne veux plus dessiner ce soir,je veux dénouer le noeud qui me serre la gorge.
avant que n'arrive demain qui est un nouveau jour où on continue à nager dans la merde.
rien ne réussit à me décrisper.j'ai encore l'impression que quelque chose m'attend malgré que les murs connaissent comment me dérider.cette peur est pire que les explosions.
l'explosion,quand on l'entend,elle est déjà arrivée,mais là,s'attendre à une fatalité qui vous coince sans que vous puissiez vous soustraire à sa persistance,ça doit tenir de la ténacité.
jue ne veux plus dessiner ce soir,je veux dénouer le noeud qui me serre la gorge.
avant que n'arrive demain qui est un nouveau jour où on continue à nager dans la merde.