l'invasion de beyrouth ouest
bilan :11morts et des dizaines de blessés.
on ne connait même pas le nom des victimes ni celui des blessés.
la presse de beyrouth ouest appartenant au mouvement de 14 mars a été muselée et les journalistes chassés de leur lieu de travail et les installations et les archives et tout ce qui fait un média de presse écrite ou parlée ont été saccagés ou brûlés.
seules les agences de presse et les reporters de l'opposition ont le droit de parler.
la l.b.c. a des reporters sur les lieux où la situation se dégradent mais on ne les laisse filmer que ce qu'ils veulent laisser voir. les têtes brûlées et parfois cagoulées font la loi dans les rues.l'armée? on ne sait pas encore ce qu'elle a fait dans certains endroits.
aujourd'hui c'est un nouveau jour. nous ne savons pas de quoi il sera fait.de ma fenêtre on n'entend rien du côté ouest.pourtant je suis à quelques 200 mètres de ras el-nabeh où eurent lieu des combats féroces jeudi après -midi et la nuit. maintenant c'est le calme plat.dans ma rue,abdel wahab inglizi les voitures sont rares.les gens préfèrent circuler à pied. aucun bruit de dehors. les gens se terrent chez eux. même les servantes ont cessé de se parler de leur balcon respectif.c'est inquiétant.
on ne connait même pas le nom des victimes ni celui des blessés.
la presse de beyrouth ouest appartenant au mouvement de 14 mars a été muselée et les journalistes chassés de leur lieu de travail et les installations et les archives et tout ce qui fait un média de presse écrite ou parlée ont été saccagés ou brûlés.
seules les agences de presse et les reporters de l'opposition ont le droit de parler.
la l.b.c. a des reporters sur les lieux où la situation se dégradent mais on ne les laisse filmer que ce qu'ils veulent laisser voir. les têtes brûlées et parfois cagoulées font la loi dans les rues.l'armée? on ne sait pas encore ce qu'elle a fait dans certains endroits.
aujourd'hui c'est un nouveau jour. nous ne savons pas de quoi il sera fait.de ma fenêtre on n'entend rien du côté ouest.pourtant je suis à quelques 200 mètres de ras el-nabeh où eurent lieu des combats féroces jeudi après -midi et la nuit. maintenant c'est le calme plat.dans ma rue,abdel wahab inglizi les voitures sont rares.les gens préfèrent circuler à pied. aucun bruit de dehors. les gens se terrent chez eux. même les servantes ont cessé de se parler de leur balcon respectif.c'est inquiétant.
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